Le professeur Omar active le « Dispositif d’Immersion Temporelle Islamique » (DITI) et les élèves se retrouvent transportés dans une vieille ville marchande au temps du Prophète Mohammed, paix et bénédictions soient sur lui.
Le professeur Omar commence : « Ici, nous allons voir comment des personnes de différentes situations ont fait des choix selon leur libre arbitre. Allah a donné aux gens la liberté de choisir, et c’est une grande responsabilité. »
Ali: « Regardez ce marchand, il semble avoir beaucoup d’argent. »
Amina: « Oui, mais regardez aussi ce pauvre homme, il n’a pas grand-chose. »
Youssef: « Ce qui est intéressant, c’est que les deux peuvent être heureux ou malheureux selon leurs choix. »
Leïla: « Exactement, l’argent n’est pas la seule mesure de la réussite ou du bonheur. »
Professeur Omar: « Très bien observé. Le marchand peut avoir beaucoup d’argent, mais s’il ne choisit pas d’adorer Allah et de suivre Ses directives, toute sa richesse ne lui sera pas utile dans l’au-delà. Le pauvre homme, en revanche, pourrait être riche dans son cœur en étant proche d’Allah. »
Soudain, un homme s’approche du marchand et lui propose un marché qui lui rapporterait beaucoup d’argent, mais qui est contraire aux principes islamiques.
Khalid: « Oh non, que va-t-il choisir? »
Sara: « C’est une décision difficile. Mais c’est son choix. »
Ahmed: « C’est vrai, il a le libre arbitre pour choisir entre le bon et le mauvais chemin. »
L’homme réfléchit un instant puis refuse le marché contraire aux principes islamiques.
Lina: « Il a fait le bon choix! »
Professeur Omar: « Exactement, en faisant le bon choix, il a peut-être perdu de l’argent à court terme, mais il a gagné la satisfaction d’Allah, qui est la véritable richesse. »
Pour bien vous faire comprendre l’importance du libre arbitre, considérons un cas hypothétique. Le jour de la résurrection, un individu prétend qu’il n’avait pas le choix dans sa vie. Il aurait voulu investir dans un commerce rentable qui vendait de l’alcool, mais a finalement choisi de respecter les commandements d’Allah. Il se plaint alors de l’absence de libre arbitre dans sa décision. Chacun est libre de choisir ou pas d’adorer Allah mais Allah n’aime pour ses serviteurs la mécréance.
Les élèves, profondément touchés par cette leçon, quittent la classe en se promettant de toujours chercher à faire ce qu’Allah aime, malgré les épreuves et les choix difficiles qui les attendent dans la vie.
Preuve :
Le concept de libre arbitre est bien présent en islam. Dans le Coran, il est dit : « Et dis : ‘La vérité émane de votre Seigneur’. Quiconque veut, qu’il croie, et quiconque veut, qu’il mécroie.' » (Sourate Al-Kahf, 18:29).
Dans les hadiths, le Prophète Mohammed, paix et bénédictions soient sur lui, a également souligné l’importance du libre arbitre en disant par exemple : « Les actes ne valent que par les intentions » (Hadith rapporté par Al-Boukhari et Muslim).
Ces textes mettent en évidence l’importance du libre arbitre et de la prise de décisions en conformité avec les enseignements islamiques.
⚠️ Allah donne le choix de suivre les enseignements religieux, mais la foi est obligatoire selon la loi islamique.
Si la foi en Allah est une obligation en islam, cela signifie qu’il est attendu de chaque musulman de croire en Allah et de suivre les enseignements et les commandements islamiques. Ne pas le faire peut avoir des conséquences dans la vie ici-bas et dans l’au-delà, selon la compréhension islamique de la foi et de la loi.
fatwa de cheikh al’oteymine
« Il est dit dans le coran :((Alors, celui qui veut se rappeler)) »ce qui signifie que celui qui veut se rappeler ce qui a été révélé comme conseil, le fera. Et celui qui ne le veut pas, ne le fera pas. Ceci à cause de ce qu’Allah a dit : « ((Et dis : ‘La vérité provient de votre Seigneur. Quiconque veut, qu’il croie, et quiconque veut, qu’il mécroie’)) ». Allah a donc donné le choix à l’être humain, un choix en termes de destin mais pas en termes de législation. Il lui a donné le choix entre croire et mécroire. En termes de législation, Il n’accepte pas que ses serviteurs soient incroyants. L’homme n’a pas le choix, en termes de législation, entre l’incrédulité et la foi. Il est plutôt ordonné de croire et il lui est imposé d’avoir la foi. Mais en termes de destin, il a le choix et il n’est pas, comme certains le prétendent, contraint à ses actions. Ceci est une opinion innovée par les Jabrites parmi les Jahmites et autres. En réalité, l’homme a le choix. Ainsi, si une action est faite sans son choix, par exemple sous la contrainte, alors elle n’est pas de son fait. L’essentiel est qu’Allah dit : « ((Alors, celui qui veut se rappeler)) » c’est-à-dire se rappeler ce qui a été révélé comme révélation et en tirer une leçon. En d’autres termes, celui qui ne veut pas, ne se le rappellera pas. Et celui qui est guidé, c’est celui qu’Allah a guidé. »
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